CUSHING ET ACCOMPAGNEMENT

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Pour les gardiens et gardiennes sont les animaux sont confrontés à ce syndrome : voici un groupe privé (pour ne toucher que les personnes qui en ont besoin) d’entr’aide, d’écoute, de soutien et de partages d’information pour une prise en charge la meilleure possible

(4) CUSHING : une naturopathe animalier vous accompagne | Facebook

 

T’AS LE BONJOUR DU PRINTEMPS

T’AS LE BONJOUR DU PRINTEMPS

« Le printemps est arrivé, sors de ta maison,

Le Printemps est arrivé, la belle saison! »

Ce cher Michel Fugain en 1976 avait sans nul doute oublié combien le Printemps est source aussi de danger pour nos amis à poils.

Alors, faisons aujourd’hui un petit listing des dangers qui menacent nos loulous.

1° Ces chers PARASITES : tiques et puces

Ils sont présents tout au long de l’année mais lorsque le printemps arrive :

  • les puces se reproduisent plus facilement : une femelle peut pondre jusqu’à 50 oeufs par jour pendant plus de 100 jours. Adulte, sur le chien, elle pique environ 10 fois par jour et ingère jusqu’à 15 fois son poids en sang. Elles provoquent grattage, blessures, dermatites. Elles peuvent également transmettre des vers à votre animal, qui seront tout autant redoutable, pour vous comme pour lui. D’où l’importance de le vermifuger régulièrement.
  • les tiques : peuvent provoquer la maladie de Lyme, la  Piroplasmose, l’Ehrlichiose. On les trouve dans les herbes hautes, la forêt, les jardins urbains. Autant dire qu’il est important même avec les répulsifs appliqués, de vérifier le pelage de votre animal après chaque balade.

 

 

 

 

2° « A la queue leu leu » : les chenilles processionnaires

La chenille processionnaire du pin est la larve d’un papillon de nuit qui éclos durant l’été, entre juin et septembre, selon les climats.

Au printemps, les chenilles en procession, conduite par une femelle, quitte l’arbre pour aller s’enfouir dans le sol. Elles se suivent « tête à cul », car seule la chenille de tête est capable de voir, les autres sont aveugles.

Les risques pour nos animaux : leurs poils urticants provoquent brûlure, rougeur, oedème et douleur. En se léchant, l’animal répands les poils sur sa langue. On aura alors un choc allergique, une nécrose de la langue, qui représente une urgence vétérinaire absolue.

 

 

 

 

 

 

3° Les « Mosquitos » : ces phlébotomes mortels

Ce sont des moustiques qui transmettent une maladie : la zoonose, appelé Leishmaniose. Cette maladie peut être fatale. Lorsque le moustique infecté pique le chien, il dépose des parasites sur la peau. Ceux-ci atteignent les globules blancs et s’introduisent dans les organes.

Contre ce fléau, 2 alternatives : les répulsifs et le vaccin.

 

 

 

 

4° Le jardin et ses possibles plantes toxiques

Ces plantes qui peuvent provoquer diarrhée, vomissement, troubles nerveux, insuffisance cardiaque. Voici une liste qui n’est pas exhaustive :

  • les liliacées (comme le lys, la tulipe l’ail…)
  • le muguet
  • les jonquilles
  • le rhododendron
  • les ficus
  • le laurier rose etc…..

Ne pas oublier les possibles pesticides, les fameux granulés contre les limaces, et tous ces produits de jardin que nous oublions parfois toxiques pour nos animaux.

 

5° Epillet, mon ennemi

Présent dans les champs, comme dans nos jardins dès qu’arrive le printemps et l’été, et  même en ville dès qu’il y a un espace vert, ils sont d’autant plus dangereux que nos animaux ont des poils longs : ils s’accrochent à ceux-ci pour progresser et voyager sur l’animal. Il peut s’incruster dans les coussinets, entre les doigts de ceux-ci, et percer la peau, mais aussi entrer dans tous les orifices (les orifices de la truffe si le chien a reniflé, les oreilles, la vulve pour la femelle, le fourreau pour le mâle, les yeux, l’anus, les sacs anaux).

Qui sont-ils ? 

Parmi les graminés on trouve souvent l’orge des rats (Hordeum murinum) très présent dans le sud de la France, mais nous avons aussi les graines d’avoine, ou de blé dur, la brome stérile (bromus sterilis).

Comment ? 

L’épillet entame sa progression toujours dans le même sens du fait de son extrémité pointue. C’est cette dernière qui lui permet de perforer les tissus, car l’épillet est un voyageur, c’est pour cela que cette graine de graminée sauvage est aussi appelée « espigaou » = « voyageur », ou « folle avoine ».  A l’arrivée de l’été, l’épillet commence à se dessécher et se détacher de sa tige, et c’est à cette période qu’il devient dangereux. Lorsqu’il s’est incrusté dans la peau, sa forme évasée le pousse à s’enfoncer toujours plus loin.

En mangeant de l’herbe, le chien peut par la même occasion ingérer des épillets. Ils peuvent se loger dans une gencive, entre deux dents, avec le risque de traverser la muqueuse buccale.

Symptômes : 

Lorsque l’épillet se loge au niveau des coussinets, cela peut entraîner une boiterie chez l’animal. Il peut avoir percé la peau et continué à l’intérieur son « voyage » et pourra provoquer  un abcès.

Pour les autres endroits il ne sera pas facile de les déceler : seul quelques indices pourront alerter le propriétaire :

  • oeil rouge ou « pleureur »
  • secouement de tête
  • léchage excessif
  • éternuement à répétition avec ou sans saignement
  • signe de douleur (grognement, jappement, animal prostré…)
  • bouton ou abcès
  • le chien se gratte la gueule, présente parfois des saignements, mastique dans le vide

PRISE EN CHARGE RAPIDE VETERINAIRE

Si l’épillet n’a pas été rapidement repéré, la prise en charge doit être rapide car l’épillet peut provoquer des COMPLICATIONS :

  • s’il pénètre par le nez, c’est aux voies respiratoires qu’il pourra s’attaquer (poumons, bronches)
  • par les yeux, il peut blesser la cornée et provoquer une ulcération
  • par les oreilles, il risque de toucher le conduit auditif et provoquer des otites avec des lésions possibles du tympan que l’épillet peut perforer
  • par les voies génitales, il peut provoquer des vaginites chez la femelle
  • il peut provoquer des infections, des inflammations, des abcès

Même  si vous avez retiré l’épillet, il faut tout de même consulter son vétérinaire, car une partie peut être restée et continuer son travail de sape. PAS D’AUTO MEDICATION

Comment protéger son chien ou son chat ? 

Si vous avez un jardin, les restes de tonte seront à éliminer car les épillets se trouvent dans les hautes herbes mais aussi dans les pelouses.

Pour le chat, qui est souvent à l’extérieur, ce sera plus difficile. Seul une inspection régulière lorsqu’il rentre permettra de s’assurer de la présence ou non d’un épillet, si tant est qu’il n’ait pas déjà entamé son « voyage »

Pour le chien :

  • il est recommandé de ne pas les laisser courir dans les champs mais de les tenir en laisse
  • une inspection minutieuse régulière de la tête à la queue en passant par les coussinets, la vulve le fourreau, sera nécessaire à chaque retour de promenade et plus si nécessaire
  • les chiens à oreille tombante seront à surveiller plus particulièrement à cet endroit
  • tous les noeuds au niveau des poils qui permettront aux épillets de s’accrocher, devront être coupés
  • brosser le régulièrement pour retirer les épillets du pelage : un brossage de tout le corps avec une carde est nécessaire puis le passage d’un peigne au niveau du bas ventre, des aisselles et de l’aine afin de s’assurer que rien ne soit caché dans ces parties plus délicates.

6° NON, le crapaud ne se transformera pas en Prince Charmant

CRAPAUD = DANGEREUX pour nos chiens et nos chats

Le crapaud possède un venin toxique pour le coeur.

C’est souvent le chien et moins fréquemment le chat (même si cela peut arriver dans les jeux de chasse) qui est touché, et ceci alors même qu’il le prend dans sa gueule sans même le croquer, ni l’ingérer, le danger étant également présent s’ils le lèchent.

Pourquoi ? 

Les crapauds ont un système de défense constitué de 2 types de glandes situées sur tout le corps et qui sécrètent du venin. Certaines de ces glandes sont derrière les yeux et d’autre sur le corps sous forme de verrues. Le venin continue à être toxique alors même que le crapaud est mort. La pression exercée lorsque le chien ou chat prennent le crapaud, provoque l’expulsion du venin. C’est le contact avec les muqueuses de la bouche qui permet à celui-ci de pénétrer dans le sang, or, ce venin a une action toxique sur le coeur et le système nerveux.

Quand ? 

Le risque est plus accru entre avril et septembre avec un pic souvent entre juillet et août. Le crépuscule est un moment propice à la rencontre.

Où? 

Dans toutes les zonnes naturelles où vit le crapaud, dans les jardins, les étangs, les parcs, les forêts et montagnes.

SIGNES CLINIQUES :

Salivation immédiate et importante (si envenimation minime, tout rentrera dans l’ordre spontanément) sinon votre animal présentera :

  • vomissement
  • abattement
  • atteintes nerveuses
  • diarrhée
  • inflammation sévère de la gueule et du pharynx
  • tremblement, convulsion, démarche anormale
  • les signes cardiaques ne peuvent être décelés qu’à l’auscultation ou à l’électrocardiogramme

Attention car les salamandres et les tritons peuvent aussi être responsable du même envenimation.

GRAVITE : dépend de l’envenimation, de la taille de l’animal (pour un gros chien, l’évolution est plus souvent bénigne, mais pour un petit chien ou un chat, le contact buccal avec un crapaud peut être mortel)

ACTIONS A FAIRE :

  • rincer la cavité buccale immédiatement à  l’eau ou au bicarbonate de sodium
  • si des symptômes apparaissent il faut aller de suite chez le vétérinaire
  • en cas de contact avec les yeux, il faut rincer immédiatement avec de l’eau ou du sérum physiologique
  • l’envenimation est douloureuse pour l’animal, si bien que même si celui-ci était un animal gentil habituellement, il peut montrer des signes d’agressivité quand vous voulez lui rincer la gueule et/ou les yeux.

LES CRAPAUDS :

Il en existe de nombreuses espèces en France : le crapaud commun (bufo bufo), le crapaud des joncs (bufo calamita), le crapaud vert (bufo viridis).

Leurs caractéristiques générales = plutôt silencieux, pattes arrières courtes, se déplacent lentement, lourdement, en marchant ;  doigts des pattes arrières plus différenciés ; mode de vie plutôt terrestre.

 

 

 

 

7° Les allergies 

Nos animaux ne sont pas indemnes de ces problématiques. Ils pourront donc souffrir d’allergies au :

  • pollen
  • à la poussière
  • aux acariens

Cela provoquera des léchages excessifs, des grattages inhabituels, des pertes de poils, des apparitions de croûtes.

 

 

 

 

8° Les chocolats de Pâques 

Le chocolat est fabriqué à base de cacao qui contient de grandes quantité de théobromine responsable d’intoxications très sérieuses chez le chien. La théobromine affecte d’abord le système nerveux puis le système cardio-vasculaire (coeur et circulation sanguine) et enfin le système urinaire.

Les symptômes :

Sont visibles souvent dans les 4 heures qui suivent l’ingestion. On observe alors une augmentation de l’excitation et de l’irritabilité, une augmentation du rythme cardiaque, de l’agitation, des vomissements, une augmentation de la fréquence à laquelle votre chien urine, des tremblements musculaires et en cas d’intoxication très grave des convulsions et arrêt cardiaque, et même le décès.

 

 

 

 

9° Les vipères 

En cas de morsures : 

  • calmer  l’animal en lui évitant tout stress ou effort qui favoriserait la diffusion plus rapide du venin en augmentant le débit sanguin. Si possible  le porter.
  • Les signes cliniques apparaissent entre 30 minutes et 3h et se manifestent sous forme d’oedème, de boiterie, d’hémorragie et de nécrose localisée accompagné de fièvre, d’abattement, de diarrhée, de vomissements, de convulsions. Les complications de coagulation et d’insuffisance rénale sont souvent particulièrement graves.

C’est une URGENCE VETERINAIRE

On trouve en France 3 espèces de vipères :

  • la vipère péliade (plutôt au Nord)
  • la vipère aspic (plutôt au Sud)
  • la vipère d’Orsini (très localisée)

Comment la reconnaître ? : elle est reconnaissable à son nez légèrement retroussé, ses petites écailles au sommer de la tête, ses pupilles verticales (qui la distinguent de la couleuvre qui possède des pupilles rondes)

Où la trouve-t-on ?:  elle affectionne les broussailles. On peut la croiser dans les fossés, à la lisière des bois, dans les haies des bocages, sur les coteaux rocheux, les terrains en friches et les vieux murs en pierrailles.

 

 

 

 

Un peu de lecture supplémentaire pour les plus curieux :

Sur les puces :

https://www.dermavet.fr/la-saison-des-puces-commence/

http://www.veterinairevaudreuil.com/wp-content/uploads/2012/12/Vrai-ou-faux-sur-les-puces-2.pdf

Sur les chenilles processionnaires :

https://www.naturopathe-ch.fr/2020/08/21/attention-danger-chenilles-processionnaires/

Sur les allergies :

https://www.naturopathe-ch.fr/2020/05/20/321/ : la DAPP du chien

Sur le chocolat :

https://conseils-veto.com/intoxication-au-chocolat-theobromine-du-chien-et-du-chat/

Sur les vipères :

https://lemagdesanimaux.ouest-france.fr/dossier-181-vipere-serpent.html

Sur les crapauds :

https://lemagduchien.ouest-france.fr/dossier-536-crapaud-dangereux-chien.html

ARTICHAUT l’allié du foie


ORIGINE

Son nom botanique est Cynara Scolymus L Asteraceae

Cousin du chardon, l’artichaut était apprécié des anciens égyptiens.

En France, il n’est vraiment apparut que sous François Ier.

Ce n’est pas une fleur mais un capitule, c’est-à-dire une inflorescence. La fleur est composée de multiples fleurons qui forment le foin. Quand l’artichaud fleurit, le foin devient alors bleu et forme la fleur.

Il est réunit sur un réceptacle charnu que l’on appelle « coeur » et protégé par des feuilles simplifiées que l’on appelle bractées.

DESCRIPTION

Il appartient à la même famille botanique que le tournesol, le cardon, la marguerite et le Chardon-marie.

Plante haute de 1.50 à 2m de haut, qui possède de fortes tiges ramifiées, couronnées d’une grosse fleur pourpre et verte qui donnera l’artichaut, le légume que nous consommons.

Nous consommons les bractées florales que nous appelons « feuilles » et le réceptacle charnu de la fleur, que nous appelons « fonds ou coeur ».

COMPOSITION DES FEUILLES

Nous allons trouver divers composants dans ces feuilles, qui nous expliquerons les propriétés générales de l’artichaut en utilisation naturopathique.

  • la Cynarine : principal composant actif, aux propriétés hépatoprotectrices et cholérétiques
  • divers flavonoïdes : notamment la lutéoline

Ces deux composants sont de puissants anti-oxydants qui peuvent empêcher la destruction des cellules hépatiques et protéger l’organisme des agressions des radicaux libres en excès.

  • l’inuline : c’est un polysaccharide capable de ralentir le rythme d’absorption des nutriments, ce qui peut aider à limiter l’élévation du taux de sucre dans le sang après le repas.

PROPRIETES GENERALES

  1. L’artichaut est le prototype des plantes « dépuratives »
  2. cholagogue
  3. cholérétique
  4. hépatoprotecteur par :
    • ses acides phénols, qui augmentent le débit biliaire et protège l’hépatocyte
    • ses lactones sesquiterpéniques
    • ses flavonoïdes
    • ses acides alcools
  5. amphocholérétique (stimule ou réduit le flux biliaire selon les cas)
  6. hypocholestérolémiant : le niveau de « bon cholestérol » (HDL), augmente, celui du « mauvais » (LDL) diminue.
  7. hypotryglicéridémiant
  8. diurétique
  9. antipléthorique majeur
  10. agit sur les états de constipation : la bile secrétée permet d’activer les mouvements intestinaux (péristaltisme) et favorise l’évacuation des matières fécales

 

 

 

L’ARGENT COLLOÏDAL

Parce qu’on me pose la question régulièrement, parce que tout produit, même s’il est estampillé “naturel” doit être utilisé avec précaution. Parce que je ne le répéterais jamais assez “primum non nocere” : En premier ne pas nuire… Alors prudence pour chacun dans vos utilisations sans conseil de vétérinaire ou d’une naturopathe dans le cadre d’une consultation holistique.

Utilisé depuis l’antiquité pour son pouvoir anti-infectieux et antiseptique, il “serait” capable de s’attaquer à la plupart des bactéries, virus et parasite.
Son action non exhaustive :
  • Antiseptique : elle soutient les défenses naturelles, aide à conserver la peau saine
  • Apaise et atténue brûlures et rougeur
  • stimule la cicatrisation
  • Anti-inflammatoire
  • nettoie les oreilles, cavité buccale, yeux
  • assainit les panières et l’environnement de l’animal
  • purifie les peaux lésées (plaies, champignons) = en externe pour les problèmes de peau.
UTILISATION= sera en externe et en interne selon les besoins (Attention à ne pas faire n’importe quoi avec l’argent colloïdal = si nécessaire demander l’avis de son vétérinaire)
Les doses et la durée seront différentes suivant les usages, les concentrations de votre produit et le poids de cotre animal.
PRECAUTION
Ne pas utiliser de cuillère en métal
Ne pas stocker au réfrigérateur
ne rien ajouter au liquide de quelque façon que ce soit
Ne pas exposer à la lumière du soleil.
LE DOSAGE DE VOTRE PRODUIT : exprimé en ppm (partie par million)
Plus les particules sont fines, mieux elles seront à même de pénétrer et de se disperser dans les tissus.
Au delà de 25 ppm, les particules ont tendance à s’agglomérer et la capacité germicide est donc diminuée.
La concentration idéale se situe entre 5 et 25 ppm en sachant que pour un usage externe on peut aller jusqu’à 25 ppm mais que pour un usage interne, plus la concentration sera faible et mieux cela sera .

LA GEMMOTHERAPIE OU PHYTO-EMBRYOTHERAPIE

Une démarche de médecine naturelle, holistique, préventive et curative.

Avec le laboratoire BIOGEMM

Mais que peut bien cacher ce nom ?

Il s’agit d’une pratique thérapeutique à base de bourgeons, radicelles, et jeunes pousses d’arbre, d’arbuste et de plantes.

A quoi sert-elle ?

La gemmothérapie permet de régénérer les organes déficients, de drainer les organes engorgés et donc d’augmenter la vitalité globale.

Mais pourquoi utiliser les bourgeons ou radicelles ?

Le bourgeon d’un arbre, d’un arbuste cumule les vertus de l’organe aboutis dans un rôle régulateur. Il permet de bénéficier des vertus de l’arbre ou de l’arbuste tout en limitant la toxicité et en développant de nouvelles vertus thérapeutique. Le bourgeon est un véritable réservoir de cellules souches qui contiennent toutes les informations de l’arbre, génétiques et tissulaires. Ainsi un bourgeon contient de nombreuses substances nécessaires au développement et à la croissance de l’arbre, et de ce fait constitue un concentré d’énergie et d’anti-oxydants

la radicelle d’une plante est la plus petite partie de ses racines et pourtant extrêmement importante car elle assure une grande partie de l’absorption des sels minéraux et de l’eau et apporte donc la matière première à la plante par la production de sève brute.

Comment les utiliser ?

Chaque bourgeon ou radicelle contient une propriété thérapeutique particulière. On peut conseiller un seul bourgeon ou une association de bourgeons dont les effets vont s’additionner, voir se cumuler.

Leur utilisation sera privilégiée pour :

  • des affections chroniques

  • des traitements de moyenne à longue durée

  • pour régénérer tissus ou organes

  • en cure pour maintenir un bon état de santé.

Pourquoi le laboratoire BIOGEMM ?

Ma recherche de producteurs français, produisant des produits de qualités et BIO, m’a amené vers le laboratoire BIOGEMM, qui de plus a une particularité introuvée ailleurs :

Il produit une gemmothérapie BIO sans alcool pour les animaux.

Il sélectionne avec la plus grande rigueur ses partenaires producteurs et cueilleurs, ce qui permet une traçabilité exceptionnelle des plantes, toutes issues de l’agriculture biologique. L’organisme Ecocert certifie l’origine biologique des sites de cueillette partout en France.

Ce laboratoire utilise la méthode originelle de Pol Henry (celui qui a découvert dans les années 1960 la phyto-embryotherapie) et du Dr Tétau  : macération par Eau, glycérine végétale et Alcool/par tiers, afin d’extraire le maximum des principes actifs des plantes et assurer leur conservation optimale. Ensuite le macérât est distillé sous vide : il est chauffé mais seulement à moins de 50°C pour évaporer l’alcool et les plantes ne subissent ainsi aucun choc émotionnel. Cela permet d’évaporer l’alcool à une température faible ce qui permet de ne pas altérer par la chaleur les principes actifs de chaque plante. C’est une distillation lente et progressive avec bienveillance et redynamisation de l’ensemble des préparations. L’évaporation de l’alcool permet de renforcer la concentration en principes actifs des macérats de plantes.

C’est avec bonheur que je vous conseillerai, suivant les besoins, les bourgeons AQUAGEMM du Laboratoire BIOGEMM, pour vos animaux Chien-Chat-cheval.

Naturopat’O’ch, la Naturopathe Animalier qui a pour objectif de vous conseiller des produits de qualité, dont la traçabilité vous permets d’être assurée de leur efficacité. « Parce qu’ils le valent bien…. »